mercredi 28 décembre 2011

L'affaire Ummo

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De 1950 à nos jours...

I Introduction


Un message émis par la Terre aux premiers balbutiements radiophoniques, en 1934, aurait été reçu en 1949, soit 15 années plus tard par les habitants de la planète UMMO. Les Ummites grands explorateurs de la Voie Lactée décident après plusieurs mois d'observation d'envoyer sur Terre un corps expéditionnaire de quelques individus dont le vaisseau spatial atterrira, pour la première fois, le 28 mars 1950 à 4h17 TMG dans les environs de Digne dans les Alpes de Haute-Provence.

II La genèse de l'affaire.


De là les Ummites vont essaimer un peu partout en particulier en Allemagne de l'Ouest, en Australie, au Canada et surtout en Espagne. Dans ce pays, en 1965, ils prennent contact avec un certain Fernando SESMA, aujourd'hui décédé, et qui s'intéressait à l'époque au phénomène OVNI .


Les Ummites se sont alors mis à expédier par la poste, à différentes personnes, des milliers de documents, souvent très techniques, décrivant leur langage, leurs vaisseaux, leur vie sur leur planète d'origine, etc... Dans ces documents, ils affirment appartenir à un Club Cosmique et avouent modestement avoir été eux-mêmes visités pendant très longtemps par des gens extrêmement évolués, qu'ils n'ont parfois jamais réussi à identifier. Ils affirment également qu'ils disposent d'engins très rapides qui, pour transcender la vitesse de la lumière, utilisent une astuce de physique que nous n'avons pas encore découverte et qui leur permet de joindre la Terre en 6 mois environ alors que la lumière elle-même mettrait 14,421 années pour faire le même trajet.


Dans une lettre adressée à F. SESMA , les Ummites affirment avoir exploré près de 400 systèmes et n'avoir trouvé qu'une seule civilisation ayant le même degré d'avancement qu'eux : ils étaient des "gens petits avec une grosse tête" (précisant en outre qu'une autre planète était habitée par des hommes préhistoriques). C'est dire leur satisfaction d'avoir découvert notre Terre, dont les habitants sont physiquement très semblables aux Ummites. Ils possèdent quelques différences morphologiques avec nous, comme l'absence de glotte, mais ces différences sont suffisamment mineures pour pouvoir leur permettre de passer tout à fait inaperçus sur notre planète.



Ils nous révèlent aussi que, d'après leurs enquêtes dans les milieux ufologiques, la Terre est apparemment très visitée par de nombreuses civilisations d'aliénigènes qui circulent dans le Cosmos.


Ils disposent eux-mêmes des vaisseaux spatiaux, reconnaissables par la marque ressemblant à notre "H", mais dont le trait horizontal est barré en son milieu, celle-ci étant inscrite sur la partie inférieure de chacun de leurs engins.

Les destinataires des multiples documents envoyés par les Ummites aux terriens sont en général des gens ayant un niveau de culture assez élevé, mais ce sont rarement des scientifiques. Les Ummites s'adressent en général aux professions libérales, aux ecclésiastiques, aux journalistes, aux membres des grands services publics, etc... Pourtant ces gens reçoivent chacune des centaines de pages se référant à la structure intime du Cosmos, à la technologie des nefs spatiales ummites, à la logique fondamentale, à la structure de la matière. Ces documents resteront longtemps inexploités. Jusqu'en 1971 où fut organisé à Madrid le premier symposium, suivi d'un plus important en Mai 1973 à Barcelone qui, lui, fit l'objet d'un compte-rendu de 219 pages de grand format.


Pourquoi ces Ummites agissent-ils donc ainsi ? Ils nous l'expliquent fort bien en nous donnant une leçon de savoir-vivre : ce transfert bien dosé de connaissances ummites est une sorte de contrepartie à leur présence parasitaire sur la Terre. En quelque sorte ils nous dédommagent du flot d'informations qu'ils extraient, à notre insu, du contexte de notre civilisation. L'astrophysicien français J-P Petit, qui a lui aussi reçu en 1992 une lettre ummite, venant de Ryad, a d'ailleurs  fait des révélations fracassantes sur ce sujet dans un livre paru en novembre 1991.

III Prolongements pouvant être révélateurs


Dans un extraordinaire rapport de 50 pages, composé de six lettres s'échelonnant de janvier 67 à juin 67 et en possession de l'écrivain Antonio Riberales, les Ummites donnent des détails très minutieux sur leur débarquement le 28 mars 1950 entre Digne et la Javie, dans le département des Basses-Alpes. Ils affirment "avoir creusé dans le sol à huit mètres de profondeur une mini base dont l'accès est parfaitement camouflé et qui est en forme de galerie de 4 métres de longueur, étayée par des cintres extensibles modulaires faits d'un alliage de magnésium et se trouvant dans l'un des contreforts montagneux de la région, à proximité du Pic du Cheval-Blanc dont le sommet culmine à 2323 mètres."


Nous avons appris que des manœuvres militaires ultra-secrètes, (puisque les administrations municipales n'ont même pas été averties à cette occasion) ont eu lieu justement dans la montagne du Cheval Blanc et que les curieux étaient impitoyablement écartés à ce moment-là . Cela prouve sans l'ombre d'un doute que l'on recherchait cette fameuse galerie, laquelle a probablement été découverte avec les moyens sophistiqués et autres radars que possède l'Armée.

Pourquoi ceci se trouve-t-il encore sous le boisseau alors que la Défense Nationale n'est plus ici en cause, après 50 ans de mutisme et qu'une telle découverte fait partie indiscutablement du patrimoine de l'Humanité ? C'est, par exemple, exactement comme si le pays d'Israël qui a découvert les manuscrits de la Mer Morte avait voulu les confiner pour lui seul dans ses laboratoires pour de vulgaires questions de prestige et puissance du pays. C'est donc totalement inadmissible que les représentants de la France, patrie des droits de l'homme, puissent agir de la sorte. Que pouvons-nous faire alors, nous modestes citoyens-quidams, pour que cette incroyable vérité éclate au grand jour ?


Il nous reste une possibilité. En effet, les Ummites ont dans ce même rapport de 50 pages, avoué avoir, dans la nuit du 24 au 25 avril 1950, organisé un fantastique "raid" sur une ferme de la région où, après avoir, vers 3 heures du matin, anesthésié en plein sommeil tous les occupants (dont trois enfants) et dérobé sur les lieux de multiples objets (voir le livre de J-P Petit "Enquêtes sur des ET qui sont déjà parmi nous") et surtout -ce qui est très important pour notre débat- des pièces d'identité et... un interrupteur et le compteur électrique. Pensez-vous qu' il arrive très souvent que l'on dérobe le compteur électrique d'une maison ?


Il est donc impensable que le fermier n'ait pas porté plainte le lendemain ou les jours suivants à la gendarmerie la plus proche de son domicile ? Il semblerait que la ferme soit celle de la Bergerie du Défend au Nord-est du col de la Cine, appartenant au père Violat, hélas décédé actuellement. Précisons, pour terminer cette affaire, que les Ummites avouent aussi avoir largement dédommagé ce propriétaire, lequel n'avait donc aucun intérêt à l'époque à faire esclandre de ce cas. Mais, près de 50 ans après, nous espérons que ces scrupules, bien excusables, seront vite balayés et nous exhortons toute personne, ayant connu le Père Violat, de son vivant, ou ayant connu ses proches et qui possède une quelconque information, même insignifiante au sujet de cette plainte déposée à la gendarmerie par ce fermier, de nous écrire sur le Web, ou de courir chez le plus proche journaliste ( Ceux de "Science et Vie" mis à part, car ils ont tourné cette affaire en dérision dans leur n° de Nov.91) pour faire éclater l'incroyable vérité.


De plus, Jean-Pierre Petit, dans son ouvrage"le mystère des Ummites" chez Albin Michel en Sep. 95, à la page 163, nous précise en effet que le cartable d'un des enfants avait été dérobé avec son contenu, mais aussi une encyclopédie enfantine (A qui appartenait-elle parmi les 3 enfants ? Quels étaient leurs âges?) de même que toutes les chaussures de la maison, et donc celles, entre autres sans doute, des enfants scolarisés. On peut donc supposer -puisque l'on n'a pas d'indication sur l'âge des enfants- qu'au moins deux étaient encore scolarisés à l'époque et cela s'il n'y avait pas de vacances à ce moment-là (détail à vérifier). On peut enfin aussi imaginer que ces deux enfants n'ont pas pu se rendre en classe sans être perturbés par les détails évoqués plus haut et sans en parler à leur maître/maîtresse, qui pourrait alors confirmer leur mésaventure.

Il faut donc absolument retrouver ces enfants, si l'on connaît leurs noms (et qui seraient -paraît-il- dans la région d'Aix) et les faire confirmer par affidavits (simples déclarations signées), le moindre détail de cette affaire. En effet, seuls les écrits signés de ces enfants (et non pas leur simple confirmation orale), peuvent compter dans cette fantastique affaire qui (s'il s'avère qu'elle est authentique) concerne indubitablement -nous le répétons à dessein- la plus grande Histoire de l'Humanité. On pourrait aussi retrouver les camarades de classe de ces enfants, qui ont dû bien rigoler à l'époque, des mésaventures de leur copains, mais qui aujourd'hui tomberaient proprement à la renverse en apprenant ce qui s'est réellement passé. Il y a aussi les travailleurs espagnols du Père Violat dont on pourrait retrouver la trace si l'on arrivait à déterminer leurs noms. Il y a aussi les gendarmes qui auraient enregistré cette plainte (s'ils sont encore vivants, donc il faut ici faire vite pour les retrouver) et dont le témoignage pourrait être capital.

D'autre part, il ne doit pas être plus difficile non plus de retrouver -par exemple- auprès des services de "L'EDF", la demande d'installation d'un nouveau compteur, par le père Violat quelques jours après le 24 Avril 1950 et, surtout, le procès-verbal d'installation de ce nouveau compteur par le technicien requis, si ces archives n'ont pas été détruites . On pourrait aussi retrouver les documents ayant servi, un peu plus tard, à établir de nouveaux papiers d'identité, puisque certaines PI de la famille Violat avaient aussi été emportées. Il y a donc bien là de quoi tenter un bon détective, qui pourrait écrire ensuite tout un livre, tant les faits sont scabreux dans cette aventure, livre qui pourrait (si les détails vérifiés s'avéraient authentiques, encore une fois) modifier complètement notre manière d'appréhender l'histoire notre planète Terre et même nous forcerait à adopter une autre compréhension de l'Univers.


D'autre part (au cas où cette affaire aurait été classifiée "Secret Défense"), nous demandons à tous les professionnels de la Jurisprudence et des articles de loi, de rechercher si, en France, nous n'avons pas une "Loi cachée", comme aux Etats-Unis, (la loi F.O.I.P.A, Freedom of Information and Privacy Act : loi sur l'accès du public aux documents déclassifiés, promulguée le 4 Juillet 1974,) qui obligerait le gouvernement à ouvrir les dossiers déclassifiés de la gendarmerie (qui malheureusement ne conserve que rarement les dossiers antérieurs à 10 ans...) ou aussi les dossiers du Greffe du Tribunal d'Instance (qui devrait les conserver un peu plus longtemps) et donc à forcer les autorités à dévoiler leur jeu dans cette fantastique affaire des Ummites.


IV Conclusion

Voilà résumée en très peu de mots une des plus extraordinaires affaires ufologiques actuelles, qui attend encore, comme beaucoup d'autres, d'être enfin analysée ouvertement, en place publique, afin que, si elle s'avérait authentique, nous puissions en tirer les fantastiques conséquences qui s'imposent.



http://mysteres.du.monde.online.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=74&catid=63&Itemid=77

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