mercredi 14 décembre 2011

Klaus Dona : L'Histoire cachée du genre humain


NDK : Dona Klaus est un archéologue autrichien de notoriété internationale, spécialiste des civilisations anciennes, commissaire d'expositions d'art de la maison de Habsbourg et organisateur/instigateur d'expositions dans le monde entier.

 



Traduction et sous-titres : The Avalon Translation Project




Mars 2010

**(NDT) Certains passages comportant des termes ou expressions inaudibles ou difficiles à comprendre ont nécessité l'ajout de mots explicatifs entre crochets. **


BILL RYAN (BR) : Ici Bill Ryan, de Projet Camelot et Projet Avalon. Nous sommes le 20 février 2010 et j'ai le grand privilège de rencontrer à nouveau Klaus Dona. La présentation de cette vidéo va prendre la forme d'une interview un peu différente, parce que je vais en fait très peu parler, peut-être même ne pas parler du tout !

Klaus va nous commenter oralement un de ses diaporamas spéciaux, inhabituels et fascinants sur les artefacts et phénomènes divers qu'il a étudiés, découverts et sur lesquels il a enquêté partout dans le monde. Ils sont liés à ce que nous pourrions, je crois, légitimement appeler L'Histoire cachée du genre humain. Pensez-vous que c'est là un bon résumé, Klaus ?

KLAUS DONA (KD) : Oui, c'est un très bon résumé.

BR : [Il rit.] Je vais donc m'effacer. Savourez bien et réagissez à la présentation de ce diaporama. Klaus va vous faire suivre son propre parcours... Vous allez pouvoir l'accompagner dans le voyage qui mène à ses propres découvertes. Klaus, c'est à vous.

Que regardons-nous ici ? Je vois tout un assortiment de pyramides. Qu'est-ce que cela signifie ?

KD : Cela signifie qu'on peut trouver des pyramides dans le monde  entier, sur chaque continent.



Question :  Une civilisation mondiale a-t-elle réellement existé ?
KD : Je pense que beaucoup de nos recherches nous indiquent vraiment, qu'à un moment donné, il y a longtemps, une civilisation mondiale a existé. Mais il y a combien de milliers d'années, ça nous ne le savons pas.








La plus grande partie du public de Projet Camelot connaît peut-être l'histoire d'un bâtiment pyramidal en pierre, découvert en 1984 au Japon, à 25 mètres au-dessous du niveau de la mer sur l'île de Yonaguni, qui est l'île la plus méridionale de l'Archipel des Ryukyu.

Certains des archéologues [de réputation] internationale ne sont pas d'accord, et continuent de penser que ces bâtiments sont l'œuvre de la Nature. Mais mon ami le professeur Masaaki Kimura a effectué, quelques années plus tard, des recherches non seulement sur ce monument, mais aussi sur plusieurs autres qu'il a découverts à proximité. Vous pouvez en voir une maquette en bas à droite.

Une chose que la Nature ne peut de toute évidence pas faire... Sur deux des plateformes de ce monument, se trouve une énorme tortue en pierre et un énorme oiseau, également en pierre - qui ressemble à un aigle. La Nature peut faire beaucoup de choses, mais pas un monument aussi précis, aussi parfait.









Question : Où sont passées toutes les pierres ? Si la Nature avait fait ceci... si elle avait brisé... Où sont ces pierres-là ?

KD : Il y a aussi des rues, et on a également trouvé un stade en pierrre qui ressemble au Colisée de Rome, avec des gradins et des marches en pierre. La Nature est formidable, elle peut faire beaucoup, beaucoup de choses extraordinaires, mais pas des bâtiments aussi parfaits.

 
Vous avez ici une énorme tortue de pierre et vous pouvez également voir à quel point le plongeur est petit, comparé à ce grand monument. [En bas à gauche.]






Ici, de nouveau, une image en gros plan, simplement pour pouvoir se rendre compte de la taille de cet énorme monument.



Cartes anciennes du monde



Voici quelques cartes du monde.


En haut à droite [agrandie, à droite], vous pouvez voir la carte de Piri Reis, déjà utilisée longtemps avant la venue de Christophe Colomb en Amérique. Vous pouvez constater à quel point cette carte était déjà parfaite au début du XVIème siècle : elle montrait des parties de l'Europe, de l'Espagne et du Portugal, une partie de l'Afrique de l'Ouest et aussi de l'Amérique du Sud. Nous ne savons toujours pas actuellement qui a été capable de dessiner une carte aussi parfaite il y a déjà plusieurs siècles.




Toujours sur la même carte de Piri Reis, on peut aussi voir l'Antarctique non recouvert de glace (ci-dessous). 

 


Des chercheurs ont découvert en 1956 que la Terre, sous la masse de glace de l'Antarctique, ressemble exactement à ce que montre la carte de Piri Reis. Donc cette carte de Piri Reis devrait avoir au moins 10 à 12 000 ans. Mais la question suivante serait : Qui a été capable de dessiner une carte du monde aussi étonnante ?




En haut à gauche, vous voyez l'Atlantide [agrandie, à gauche], dessinée par Althanasius Kircher, mais la carte est inversée. Il l'a dessinée à l'envers et vous pouvez voir le continent entre l'Europe, l'Afrique, mais aussi l'Amérique.


Et vous pouvez voir, en bas à gauche [sur la première photo des différentes cartes - agrandie à gauche] les différentes faces d'une énorme carte du monde en pierre.

Cette carte du monde, en pierre, a été découverte  en 1984 en Equateur - alors qu'on cherchait de l'or dans un réseau de tunnels souterrains - en même temps que 350 autres artefacts qui ne correspondent réellement à aucune des cultures précolombiennes connues existant en Amérique du Sud.


Sur la carte de pierre [à gauche] se trouve une ligne naturelle de quartz, blanche. Il s'agit ici de la partie avant de la carte du monde en pierre et, au Proche-Orient, près de l'Arabie Saoudite, vous pouvez voir une incrustation en forme d'œil. A partir de cet œil, vers la droite ou vers la gauche, il y a une ligne de quartz naturel passant à droite sur l'Inde et la Thaïlande. Et il y a également une île allongée sur le côté droit et, selon les recherches du professeur Kimura, il existait autrefois un très vaste continent qui s'étendait depuis les îles les plus septentrionales du Japon, jusqu'à bien plus au sud que Taïwan... Mais alors cette carte du monde doit avoir au moins 10 à 12 000 ans.
 

Voici l'arrière et vous pouvez voir sur la droite une ligne de quartz arriver et passer dans l'Atlantique au large d'un continent, l'Atlantide, qui n'existe plus de nos jours. Puis la ligne blanche traverse une partie de l'Amérique du Sud.
  




Voici un gros plan et vous pouvez voir exactement la Baie de Guayaquil, une incrustation qui va vers le nord et une autre, ronde, montrant l'endroit exact où ont été trouvés ces artefacts. Et on y trouve aussi l'eau  la plus pure du monde :



 

Equateur





Un autre artefact très intéressant, trouvé en Equateur au même endroit, est celui connu sous le nom de Pyramide à l'Œil. Cet œil est une incrustation. La pierre est grise et blanche et comporte treize degrés. L'objet ressemble exactement à la Pyramide à l'Œil Brillant qui figure sur le billet américain d'un dollar. 








Si vous placez cette pyramide sous de la lumière noire, l'œil brille très fort et ressemble vraiment à un œil, mais pas vraiment à un œil humain, et vous pouvez voir les couleurs de l'incrustation.









Sur le fond de cette pyramide, vous avez une incrustation sous forme de petites plaques d'or montrant la constellation d'Orion et une écriture inconnue.

La traduction [est] du professeur Kurt Schildmann, qui présidait l'Association Linguistique Allemande et qui connaissait parfaitement plus de quarante langues... Il a pu traduire cette écriture. Il l'a appelée pré-sanscrit, parce qu'elle est plus ancienne que la plus ancienne des écritures. La traduction des quatre lettres que vous pouvez voir ici... Leur traduction, c'est : "Le fils du Créateur vient."






Nous avons trouvé la même écriture sur des pierres de certains pays, tels que l'Equateur, la Colombie, l'Illinois (Etats-Unis), Glozel (France), Malte (en Méditerranée), au Turkménistan,en Australie, dans le sud de la Calabre (Italie) il y a quelques années seulement. Il s'agit chaque fois de pierre et de céramique - de la terre cuite - portant la même écriture.

Ce qui signifie que cette écriture existait autrefois au niveau mondial, et donc qu'il devait exister une civilisation mondiale plus ancienne que le sanscrit, et âgée de plus de 6000 ans. Le professeur Schildmann m'a également dit que cette écriture avait quelques points communs avec celle de l'Indus, mais aussi avec celle de l'Île de Pâques. Comme il le disait, cette écriture est plus ancienne que le sanscrit. Il l'appelait le pré-sanscrit.












Au sommet de cette pierre, vous pouvez voir les deux yeux, puis la main droite qui tient la pyramide et la main gauche qui se place sur le sommet de la pyramide. Ce qui montre comment utiliser la Pyramide à l'Œil.








Vous pouvez voir sur cette pierre quelque chose de gravé : un homme assis sur une pierre, tenant la pyramide exactement comme montré sur l'artefact précédent. Ses yeux émettent des rayons et sur la droite, on voit deux personnages qui s'inclinent. Il a sur la tête ce qui ressemble à un petit casque, et de ce petit casque sort une antenne qui pointe en direction d'un étrange objet au-dessus de lui.








Et ici vous avez la photo du casque qui a été découvert. Nous n'avons pas encore pu effectuer de recherches sur le métal ou même trouver quel était le métal utilisé, mais vous pouvez constater que quelque chose manque au centre du casque, et cela pourrait bien être cette espèce d'antenne présentée sur l'artefact précédent.









Une autre très étrange découverte faite au même endroit est celle d'un grand gobelet en jade, accompagné de douze petits gobelets de jade. Les douze éléments sont faits de main d'homme et chacun est de taille légèrement différente des autres, mais si vous les remplissez à ras bord d'eau et que vous versez les douze petits gobelets dans le grand, ce dernier est totalement rempli.


L'étrangeté suivante, ce sont les nombres inscrits sur les petits gobelets et qui ressemblent à des nombres mayas, mais si vous les comparez à ces derniers, vous constatez de petites différences.




Et sur le grand gobelet on peut voir une constellation, parfaitement incrustée, montrant Orion et d'autres étoiles. L'intérieur du grand gobelet est très, très magnétisé, tandis que l'extérieur ne l'est pratiquement pas. Les géologues professionnels disent que c'est impossible parce que, si la pierre contient des particules métalliques, les deux côtés doivent être magnétisés de la même manière.


Voici un gros plan du grand gobelet et vous pouvez voir l'incrustation parfaite  de constellations, qui brillent violemment si on projette de la lumière noire dessus.
 





Voici quelques-uns des petits gobelets, pour que vous puissiez mieux vous rendre compte du style des nombres incrustés avec un étrange matériau qui brille également sous la lumière noire.








Une autre pièce, [à gauche], un plateau en jade avec la même incrustation d'une constellation que sur le grand gobelet, avec deux personnages au visage tourné vers le ciel. Et sur l'image suivante [à droite], on peut voir que les yeux de ces deux statuettes, ainsi que la constellation, brillent très fortement sous la lumière noire.







Cette pierre brune fut autrefois formée sous pression, et la couleur du centre de la pierre a viré au noir, ce qui ne se produit habituellement pas dans la Nature. Examinez... Si on regarde de très près, on peut voir un visage aux yeux fermés, une bouche, un nez, une grande barbe et des cheveux longs. Sur le côté gauche, le visage, mais aussi la pierre, sont cassés.






Voici l'envers de cette pierre. Vous pouvez y voir une spirale et un triangle. Le centre du triangle est très magnétisé et brille aussi sous la lumière noire.






Nous avons ici l'arrière d'un cobra. Le cobra n'a jamais existé en Amérique du Sud, mais celui-ci a été trouvé au même endroit.



 

De ce côté-ci de la tête du cobra [à gauche], vous avez 33 lignes sur la longueur, et 33 est aussi un nombre très sacré depuis très, très longtemps. Sur le côté gauche, comme sur le côté droit, on a sept points incrustés et ils représentent peut-être les chakras. Cette tête de cobra brille également si vous la placez sous la lumière noire [à droite].


Un autre objet. Vous avez ici une tête de dauphin parfaitement réalisée et cet artefact brille également sous lumière noire.








Ici [à gauche], vous avez une sorte de casque de pierre. Vous pouvez placer sur vos épaules ce casque en granit ou mettre votre tête à l'intérieur. Des experts m'ont dit que les points incrustés que vous voyez sur le casque correspondaient exactement aux points d'acupuncture de la tête humaine. Vous pouvez voir  ici [à droite] comment il pourrait avoir été utilisé.










On a trouvé il y a quelques mois, au même endroit, un casque de pierre non terminé [à gauche]. Cela signifie donc que certains de ces artefacts ont été directement fabriqués en Equateur, mais il y a très, très longtemps. Les incrustations de cet objet brillent de même intensément sous lumière noire [à droite].










Voici un extraordinaire serpent en jade. Là aussi les points incrustés brillent à la lumière noire.






Ici [à gauche] nous avons un artefact parfaitement ciselé à l'arrière, ce qui signifie qu'il pourrait avoir été utilisé, placé sur le front. Vous pouvez voir les deux yeux incrustés. Et au dos [à droite] vous avez ce qu'on appelle le troisième œil. Cet artefact était peut-être utilisé dans certaines cérémonies ou pour la méditation.









Nous avons ici [à gauche] un plat en jade comportant une spirale incrustée qui, elle aussi, brille intensément sous la lumière noire. Il pourrait s'agir également d'une représentation des sept chakras.









Voici une des céramiques trouvées là-bas. C'est un grand chef-d'œuvre et la question qu'on se pose, c'est : Comment a-t-on pu fabriquer cet artefact à partir d'un seul morceau de céramique ?







Nous avons ici une autre pierre en forme de pyramide, trouvée également en Equateur. En haut, on voit la pyramide et son œil et, en bas, vous avez plusieurs spirales et symboles. Certains ressemblent beaucoup aux tablettes Naacal de [James] Churchward, qu'il a trouvées en Inde en 1880 et dont la traduction parle du continent englouti de Mu.





Ceci est en marbre, avec une nouvelle incrustation en spirale, qui brille intensément, elle aussi, sous la lumière noire.


Une autre pierre [à gauche], de forme pyramidale, comportant un œil incrusté. Ici [à droite] on peut de nouveau voir la pyramide et son œil et, en bas, la constellation d'Orion, les trois étoiles du Baudrier, qui pourraient nous renvoyer aux trois pyramides d'Egypte.







Ici [à gauche] une statue en céramique. Le personnage n'est pas réellement assis à la manière précolombienne. On dirait la position asiatique du lotus. La statue porte un chapeau avec des points ; il est très semblable à ceux qu'on trouve sur de nombreuses représentations du Bouddha. L'homme tient un serpent dans la bouche. Le serpent est un objet très, très mystique et très souvent représenté, ce qui signifie que cette statue n'appartient à aucune culture précolombienne connue ou existante.




Même la suivante [ci-dessus, à droite] : remarquez la façon dont la statue est assise. Elle nous renvoie davantage à l'Asie. Le personnage a de nouveau sur la tête un étrange chapeau avec, en son centre, quelque chose comme la tête d'une grenouille. La grenouille est de même un animal très mystique dans l'ancienne culture précolombienne de l'Amérique du Sud, mais aussi en Afrique et en Asie.



 Voici [à gauche] une autre statuette de céramique tenant dans sa main gauche une sorte de plat et, elle non plus, n'a pas l'air très précolombienne. Ceci [à droite] est de nouveau un très étrange artefact. Le personnage tient un bâton [sur lequel s'enroule] un serpent. Nous retrouvons ici le serpent, et posons la question : Où cette statue a-t-elle été faite et par qui ?






 

Bolivie

 

Voici une photo de l'Altiplano de Bolivie. Les archéologues et chercheurs ont découvert, qu'il y a  au moins 4000 ans, s'est produit un très  grand impact en Argentine et que son onde de choc a détruit de nombreux bâtiments en pierre dans l'Altiplano bolivien.









Voici une photo de Puma Punku, un endroit très étrange, proche de Tiahuanaco, en Bolivie, où on peut voir des tonnes de plaques de pierre détruites,  ouvragées à la perfection. Ce fut peut-être là la conséquence du grand impact argentin.







Voici [à gauche] mon ami  Giancarlo Bonfanti, chercheur italien, au centre de ce qu'on nomme la Porte du Soleil, à Tiahuanaco en Bolivie. Certains chercheurs disent que les figurines situées en haut de cette face de la Porte du Soleil [à droite], représentent le calendrier vénusien.




Voici une des grandes plaques de pierre en provenance de Puma Punku et vous pouvez constater le degré de perfection du travail. Question : Pouvait-on effectuer un travail aussi parfait avec des outils simples ? 

 




Près de ce secteur ont été trouvés des squelettes d'une taille de 2,60 m. L'image du dessus [à gauche] vous présente le crâne d'un de ces squelettes et il semble déformé. Mais ces crânes ne sont sûrement pas déformés, ils ont par nature la forme d'un œuf.
Dans la photo d'en haut à droite, vous pouvez voir combien ces crânes possèdent une forte mâchoire. En voici la vue de face. [en bas à droite]





La photo la plus intéressante est celle-ci [ci-dessous], parce que vous pouvez voir
qu'à son sommet le crâne ne possède pas les trois plaques que nous avons, en tant qu'Homo sapiens.

Ce qui nous montre que ces squelettes ne sont pas ceux d'Homo sapiens.
Nous pourrions vérifier leur ADN et dater ces squelettes parce que nous nous demandons vraiment
quel genre d'humain existait il y a longtemps, et de quand date ceci.










Dans les prochaines images, je vais vous montrer quelques artefacts trouvés à proximité de ces authentiques géants.

Quand j'ai eu en main pour la première fois ce masque [ en bas à gauche], j'ai essayé de regarder par les deux yeux. je ne savais pas à l'époque qu'ils appartenaient à des squelettes de 2,60 m ; je me demandais seulement pourquoi on avait fabriqué des masques où on ne pouvait regarder que par un œil. Mais lorsque j'ai appris que ces gens-là faisaient plus de 2,50 m de haut, j'ai compris que leur crâne était bien sûr plus grand que le nôtre et pourquoi ces masques étaient trop grands pour nous.









Voilà un autre masque de Bolivie [à droite]. Un autre [au centre], merveilleusement gravé de nombreux spirales et symboles, que l'on a également trouvé dans beaucoup d'autres cultures.








Voici une très lourde figurine de pierre, et vous pouvez voir, ici aussi, la tête d'un serpent, tout en haut et qui descend à l'arrière.


Voici le revers. On peut voir une nouvelle fois le serpent, ce qui signifie donc que le serpent doit avoir été un animal très important dans notre Histoire passée.








Ici vous voyez une flûte en pierre. Etrangement, la vibration du son émis par ces flûtes de pierre correspond exactement à celle des ondes de notre cerveau. Il en ressort que ces flûtes étaient peut-être utilisées pour méditer ou pour guérir. Et les trous sont parfaitement reliés deux à deux. Ce qui signifie qu'il est possible de percer des trous parfaits dans  cette pierre très, très dure.





Mais comment relie-t-on, avec des outils très simples, les deux trous du bas ? Ce serait difficile à faire, même de nos jours.

BR : Parce que c'est en forme de "U" et que ça tourne à l'intérieur de la
pierre ?

KD : C'est exact. Et avec des outils simples, on ne peut assurément pas exécuter ce genre de travail ; et même les trous sont percés de manière très précise.




 Ceci [à gauche] a la forme d'un bateau et on a trois tuyaux de flûte à l'extrémité. Ici [à droite] on peut voir avec quel degré de perfection ils ont été faits.









Ceci est une autre flûte, très petite.On ne peut l'utiliser qu'en soufflant très doucement, et le son produit évoque celui des dauphins.








Nous n'avons aucune idée de ce à quoi pouvait servir l'artefact suivant.





 

 

Colombie

 

Nous voici maintenant en Colombie. Sur les quelques photos suivantes, je vais vous présenter d'étranges artefacts en provenance de Colombie (Amérique du Sud).

Le très célèbre architecte et styliste industriel de Colombie, le professeur Jaime Gutierrez, collectionne d'étranges artefacts de son pays, [connus (?)] depuis déjà des siècles.

La pièce la plus importante de sa collection est surnommée le Disque Génétique. On voit ici un disque en lydite, une pierre très dure. Elle est presque aussi dure que le granit, mais elle possède une structure feuilletée, si bien qu'il serait impossible d'exécuter le même disque de nos jours à partir de ce matériau.

Ce disque - que l'on appelle le Disque Génétique - a un diamètre d'environ 27 cm. On peut y voir représentés plusieurs éléments habituellement seulement visibles au microscope.

Par exemple, sur le côté gauche, à 11 heures, on peut voir un ovule, un ovule humain sans spermatozoïdes et un autre avec. Sur le côté droit, à une heure environ, on peut voir quelques spermatozoïdes. Puis il y a plusieurs représentations très étranges que nous n'avons pas pu expliquer.








Mais ici, à gauche, on a le cliché pris au microscope par un photographe suédois de l'intérieur d'une dame. On peut voir que l'ovule, avec ou sans spermatozoïde, ressemble exactement à ce qui est représenté sur ce Disque Génétique.







Sur l'envers, vous avez, en haut, plusieurs représentations de fœtus de différents âges et tailles avec, pour finir... ce qui ressemble à un petit enfant. On peut voir aussi, en bas du plateau, à environ 6 heures, femme et homme. Et aussi, côté droit, vers 9 heures [?] la représentation d'un homme, d'une femme et d'un enfant. Ce qui est étrange, c'est la manière dont ces têtes à forme humaine sont représentées.






On voit ici un couteau dans le même matériau, la lydite. Sur le manche, au sommet du couteau, on trouve la tête d'une mère puis, plus loin, la tête de l'enfant, le cordon ombilical enroulé autour de son cou. Ce qui signifie que ce couteau aurait été utilisé pour trancher le cordon ombilical et sauver ainsi la vie de l'enfant.




Voici un gros plan : mère, enfant et cordon ombilical.








Ceci est un instrument. Il pourrait avoir été utilisé pour aider l'enfant à  sortir, à quitter la mère, en cas de complications. Il est toujours constitué du même matériau, la lydite.

On voit ici le vagin [au centre] et la tête de l'enfant qui sort. Au revers [à droite], on ne peut y mettre que le pouce. Ce qui signifie que cet instrument ne peut être utilisé qu'avec les doigts - c'est-à-dire sans utiliser la force. En d'autres termes, cet instrument pourrait être moins dangereux que les nôtres actuellement pour aider l'enfant à sortir de sa mère parce que, lorsqu'on utilise nos instruments, on peut endommager la tête du bébé.










Nous pensons qu'il s'agit ici également d'un instrument médical [à gauche]. C'est également de la lydite et la forme est parfaite.





En voici d'autres [au centre et à droite]. Lorsque nous avons procédé à la vérification du matériel à Vienne, ces objets ont été vérifiés par le plus grand expert mondial. Le matériau tout d'abord : ils sont tous en lydite.


Concernant la forme, après vérification, il a finalement déclaré : "Je ne peux pas vous dire comment ils ont été fabriqués, ni qui les a faits. La seule chose que je puisse vous dire en toute certitude... c'est que, de nos jours, nous sommes incapables de fabriquer les mêmes instruments à partir du même matériau".


Donc, nous ne connaissons pas leur âge. Puisqu'ils ont été trouvés en Colombie et ne correspondent à aucune culture précolombienne existante, nous devons envisager le fait que ces artefacts sont vieux d'au moins 6000 ans, mais nous ne pouvons pas expliquer quelle sorte de technologie a été effectivement utilisée pour parvenir à fabriquer de tels instruments et outils à partir de lydite.

Vous voyez que chaque objet s'adapte à chaque type de main, quelle que soit sa taille. Chaque instrument, chaque outil, s'adapte exactement à toutes les  mains qui les utilisent.






Pour plaisanter, j'appelle ceci le Fauteuil du Dentiste... Parfaitement fait et, de nouveau, le même matériau : de la lydite. Et question étrange : s'ils pouvaient fabriquer des figurines aussi parfaites dans ce matériau si difficile à travailler, pourquoi représentaient-ils toujours le visage humain avec ces gros yeux ronds, un petit nez et une grande bouche ? Il n'y a pas d'explication réellement satisfaisante.






Ce visage [à gauche] évoque un petit peu celui des Moai, ces grandes statues de pierre de l'Île de Pâques. Ici, [à droite] vous en avez un gros plan.








De nouveau un objet de Colombie, en lydite. A l'avers on voit la mère tenant son bébé. A l'envers on voit l'homme en armes, très probablement pour la chasse.








On a trouvé cette figurine de pierre en Colombie. Elle ressemble exactement aux statues Moai de l'Île de Pâques, mais n'a que 30 cm de haut.




Voici un autre chef-d'œuvre du travail de la pierre. Les deux côtés représentent un oiseau, mais si vous regardez l'avant [à gauche] vous voyez que les deux oiseaux forment un visage. Et sur le côté gauche [à droite], entre la tête et les ailes de l'oiseau, on voit de nouveau cette écriture inconnue que nous avons trouvée sur des pierres du monde entier.











Voici une mère tenant son enfant, un étrange visage, le tout dans un matériau ressemblant au jade.




Voici une autre pierre originaire de Colombie, représentant un amadillo. Sur le dessus de l'amadillo, on peut voir un étrange visage avec de longues oreilles et une paire de cornes.






Sur le dessus de cet artefact, un visage souriant. Sur ce côté [à gauche] on a deux triangles et de l'autre côté, sur le côté droit, [à droite] on a un visage. De nouveau le visage animal sur le côté droit  et quelques symboles inconnus.









Et sur la partie inférieure de cet objet, on voit un animal... qui ressemble à un crocodile.





 

 

Guinée, Afrique occidentale

 

Nous allons maintenant nous rendre en Guinée, en Afrique occidentale, tout près de la frontière avec le Mali.


Sur une énorme montagne de granit, on a trouvé le demi-portrait d'une femme creusé dans la pierre. Du sommet de la tête au milieu du torse, la taille de cette statue est d'exactement 150 m. Très importante question : Qui aurait pu sculpter un aussi énorme demi-portrait en granit, dans une montagne, il y a au minimum 10 à 12000 ans ?





Le professeur Pitoni, le géologue italien, s'est rendu sur les lieux. Il a pris ces photos. Il a examiné la terre située au pied de cette montagne et, selon ses calculs, ce monument en pierre a dû être réalisé il y a au moins 10 à 12 000 ans. Mais apparaît alors cette question cruciale : Qui a pu être capable de réaliser un tel monument en pierre ? Même de nos jours, ce serait impossible, ou bien cela coûterait tellement cher qu'on ne pourrait pas le financer.

Et si vous regardez le gros plan du visage, des experts m'ont dit que ce visage n'était assurément pas européen, mais bien sûr pas originaire d'Afrique noire non plus. Il doit s'agir d'une culture soit sud-américaine, soit asiatique. Mais une fois de plus, vieille de 10 à 12 000 ans. Il pourrait s'agir de la civilisation perdue de l'Atlantide.

Au Sierra Leone, près de cette région, le professeur Pitoni était responsable de fouilles. Et là-bas, il a entendu parler d'une légende selon laquelle Allah, en colère contre des anges, les changea en pierre et les jeta sur Terre. Et il prit les étoiles et les jeta également sur Terre.



La légende dit que le ciel... vous pouvez le voir dans cette pierre - on les appelle les Pierres de Ciel, des pierres bleu-ciel trouvées sous terre dans cette région. Nous avons effectué des recherches à Vienne... il s'agit, sans aucun doute, d'une pierre artificielle, pas d'une pierre naturelle, et un autre matériau a pu être trouvé. Mais la seule chose qu'on n'a pas pu nous indiquer, c'était le type de couleur utilisé pour obtenir cette véritable couleur bleu ciel.





Des figurines en pierre trouvées à 20 m et même jusqu'à 50 m de profondeur. Le professeur Pitoni a toujours récupéré un matériau organique sur le lieu même de la découverte et la datation de ces artefacts en pierre s'échelonne de 2500 à 17 000 ans, pour le plus vieux. Ici [en bas à droite], vous voyez une pierre de granit, qu'on appelle Nomoli, joliment gravée.










Vous avez là un homme assis sur un éléphant, puisqu'il y a également des légendes de géants dans toute l'Afrique. Vous connaissez la taille d'un
éléphant !  Le travail de la pierre est merveilleux ; l'objet est très dur et très lourd.







Certains artefacts représentent aussi des humains ou semi-humains à tête de reptile et tenant une sorte de pot où ils pourraient mettre quelque chose. Au sommet de plusieurs Nomolis se trouve également un trou pour y entrer quelque chose. Ils étaient très probablement utilisés pour les cérémonies.






Vous avez ici une sorte d'animal... qui ressemble à un dinosaure. Quand le professeur Pitoni a trouvé cette statue, elle émettait un drôle de bruit. Il l'a donc ouverte et on a trouvé à l'intérieur une petite bille noire. Vous pouvez la voir au pied de la statue [en haut à droite] ; elle était en métal ferreux.





Au moment des recherches sur cet artefact et sur cette bille de métal plus particulièrement, le professeur m'a appelé le lendemain matin pour me dire qu'on avait dû me faire une mauvaise plaisanterie.
Pourquoi ? ai-je demandé. Parce que les recherches ont révélé que le matériau était de l'acier chromé et que l'acier chromé a été découvert en Autriche au début du XXème siècle. Cela signifie qu'il était impossible d'en trouver à l'intérieur d'une statue vieille d'environ 17 000 ans !

Mais lorsque j'ai, immédiatement après, contacté le professeur Pitoni, il a ri et m'a dit : "Je suis géologue. Si une statue fait un bruit bizarre, je ne l'ouvre pas tout de suite, mais je la passe d'abord aux rayons X".

Vous pouvez voir ici, sur l'image de droite [ci-dessus à droite] une des radiographies et vous pouvez constater qu'à l'intérieur de la statue se trouve déjà la bille, la bille en acier chromé était déjà là.








On voit tout dans cette radiographie. Le professeur Pitoni a également vu que cette statue de pierre avait déjà été ouverte auparavant et parfaitement refermée. Il a fait appel à un spécialiste qui l'a ouverte exactement comme sur cette photo, le petit bouchon de pierre qui obturait le trou à l'intérieur, et on peut constater que la bille de métal était déjà là.






Les Géants

 

Certains d'entre vous ont peut-être déjà vu sur Internet des images ou des photos de géants, de squelettes géants découverts dans le désert en Inde, en Chine et ailleurs. La plupart de ces photos étaient en compétition pour présenter Photoshop... Impeccablement montées. J'ai été moi aussi très impressionné la première fois que j'ai reçu une de ces photos...






Mais les photos que je vous montre maintenant ne proviennent assurément pas d'un concours Photoshop. Ces photos représentent des crânes et des squelettes authentiques.

Ce crâne provient d'un réseau de tunnels souterrains en Colombie. Le crâne pourrait avoir jusqu'à 11 000 ans. Le crâne est plus grand que la normale et les dents de devant sont alignées sur la mâchoire de manière différente des nôtres.






BR : Ce que je remarque ici, c'est que la mâchoire est très fortement marquée. La mâchoire avance beaucoup, le menton est très proéminent.




Et voici une photo qui nous a été montrée par un insider de Project Camelot. Il ne s'agit pas d'une véritable photo ; elle provient du vieux film où joue Arnold Schwarzenegger, Conan le barbare. Ce que vous voyez ici est un effet spécial appliqué à l'acteur James Earl Jones. Ce qu'il faut remarquer ici, c'est la forme de la mâchoire.


Notre témoin, qui avait passé du temps en compagnie des Anunnaki, en temps réel et de nos jours, a dit que c'était une des choses qui les caractérisaient en dehors de leur taille - qui était selon lui d'environ 2,40 m à
2,70 m... Il disait qu'ils sont immenses et très musclés et qu'ils en paraissent d'autant plus grands. Mais c'est à peu près leur taille, qui correspond exactement aux 2,60 m dont parle Klaus. Il a dit que la ligne de la mâchoire était très fortement marquée et proéminente et c'est justement ce qui me frappe à propos de ces squelettes et de ces crânes que nous sommes en train de regarder.

KD : J'ignorais cela...

BR : Il faut que vous le sachiez !... A vous, Klaus…




KD : Donc, une fois de plus, voici une très vieille photo prise dans un musée à La Valette, sur l'île de Malte.Elle montre plusieurs crânes allongés et l'explication donnée, c'est "crânes déformés", mais ils sont très allongés vers l'arrière.







Voici un de ces crânes très, très étranges.









Ils sont exposés dans un petit musée, à Ica au Pérou. Ica est situé près des fameuses Lignes de Nazca et le musée s'appelle le Museo Maria Reiche, du nom de l'Allemande qui a passé toute sa vie à faire des recherches sur les Lignes de Nazca. Et dans ce musée on peut contempler les crânes les plus étranges que j'aie jamais vus, tous découverts dans cette région proche des Lignes de Nazca. La question que je pose est donc : Quelle sorte d'humains vivaient là-bas et comment ont-ils obtenu ces formes crâniennes ?





Celui-ci particulièrement. Plusieurs médecins et experts m'ont affirmé qu'il était impossible de créer une déformation comme celle-là, parce qu'avec la déformation, vous n'obtenez pas le double matériau osseux de ce crâne. Sur ce crâne vous avez même des particules de peau et de cheveux, et je pense qu'il ne serait ni difficile d'effectuer une datation de ce crâne, ni d'en analyser l'ADN.





Ici, je vous présente quelques formes de squelettes légendaires de géants. En 1964, dans la province de Loja, dans le sud de l'Equateur, une partie d'une plateforme montagneuse s'est effondrée et le père Carlos Vaca, aumônier des hôpitaux, a été appelé à cet endroit. Il y a découvert les os brisés d'un géant.




BR : Très bien ! Bon, Klaus, je vous ai demandé si vous alliez nous emmener en voyage et pendant presqu'une heure, je crois, vous  nous avez entraînés dans un périple fascinant, non seulement autour du monde, mais en remontant le temps de près de 17 000 ans !

Ceci nous rappelle à quel point nous savons peu de choses de notre véritable Histoire. Ce sont là des pièces importantes d'un important puzzle et vous consacrez une énorme part de votre temps à rendre le public plus conscient de ce qu'on ne nous montre pas dans la plupart des musées, de ce qu'on ne trouve pas dans les manuels d'anthropologie et ce que de nombreux professeurs d'université refusent encore de reconnaître.

Merci infiniment pour le rôle que vous jouez dans l'amélioration de la compréhension de notre Histoire sur la planète Terre. Merci Klaus.


**Transcription fournie par les bénévoles ardents au travail des Equipes de Transcription de Divine Cosmos / Project Camelot / Project Avalon et Project Camelot Productions. Toutes les transcriptions que vous trouvez sur ces sites sont fournies depuis quelques années par l'Equipe de Transcription. Tels de petites fourmis, nous pouvons être cachés, mais nous n'en élaborons pas moins de belles transcriptions pour votre plaisir et pour accompagner votre réflexion.

Traduction fournie par l'équipe bénévole de
"The Avalon Translation Project".


Source : http://projectavalon.net/lang/fr/klaus_dona_2_interview_transcript_fr.html


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