mardi 3 janvier 2012

Fluor : pour vous vendre leur soupe, les élites vous prennent vos dents


Entre les cinq fruits et légumes à consommer par jour, le sport pour vous faire suer plutôt que réfléchir et les bienfaits pour la santé du travail dominical, nous avons régulièrement droit aux spots labellisés "association pour l'hygiène bucco-dentaire", où divers mérites de dentifrices nous sont vantés. En plus de nous assurer un sourire plus blanc qu'une cagoule du Klan et une haleine à faire se pâmer la gent féminine (bien que tout le monde sache que c'est l'haleine chargée de vodka qu'elles tombent dans nos bras), nos dents sont protégées des caries par la substance miracle, le fluor!




Les mérites du fluor nous ont été vantés comme jadis on eut promu les savons au radium. Le monde est si habitué au produit miracle que, depuis les années 1930, afin de favoriser la santé dentaire de ses citoyens, l'eau de grandes villes américaines comme New York City ou Boston est fluorée (NDK : et c'est aussi le cas de bien d'autres villes de par le monde ; même certains villages sont maintenant concernés...). Comment cela a-t-il pu arriver ? Faisons un peu d'histoire.

Dès le début de la seconde moitié du XIXe siècle, les industries lourdes avaient identifié parmi leurs déchets l'acide fluorique (H-F), comme étant un des plus dangereux, provoquant notamment la décalcification des dents des enfants habitant aux alentours. Le fluor fut donc considéré de prime abord comme un dangereux poison. Des règles et des contraintes sur son utilisation apparurent, poussant l'industrie à réagir. Parmi elles, l'Aluminium Company of America (ALCOA) fut une des plus touchées, l'aluminium naturel se présentant souvent sous forme de cryolithe, alliant aluminium, sodium et fluor, et donne, une fois l'aluminium extrait, du fluorure de sodium, extrêmement toxique (on le retrouve ainsi dans la mort aux rats). Devant la quantité énorme de poison produite, l'ALCOA réagit en noyautant les institutions.

Ainsi, de 1921 à 1933, le secrétaire du Département au Trésor (duquel dépendait le Service de Santé Publique) n'était autre qu'Andrew W. Mellon, un des principaux actionnaires de l'ALCOA. Les études sur les fluorures furent étonnamment conduites par le "Mellon Institute", fondé avec son frère, et confiées au docteur Kehoe, lui aussi membre de l'USPHS. L'industrie contrôlait la recherche privée et les institutions publiques, et eut vite les mains libres pour rentabiliser ses fluorures. L'USPHS put distribuer des bourses aux dentistes, les rendant dépendants, et les dangers du fluor, comme la fluorose (qui détruit les dents) furent vite oubliés.

Enfin, ce fut autour de l'American Dental Association d'être subventionnée, et l'on eut droit aux études indiquant que "les dents qui se désagrègent ont moins de caries que les autres". L'ALCOA passa ensuite aux mains de la maison Rockefeller, et en 1945, Oscar Ewing, ancien salarié de l'ALCOA, devint administrateur du Département fédéral de la Santé. C'est ainsi que fut décidée la fluoration de l'eau aux USA. D'autant qu'entre-temps, les stocks de poison avaient encore été augmentés par l'emploi du fluor dans la production d'uranium... Les études contradictoires, comme celles du "Fluoridation demonstration Project", furent bien entendu passées sous silence.

Vous me direz, il s'agit là d'une énième attaque du complexe militaro-industriel sur notre santé à des fins de profit. Mais cela va encore plus loin. Car un peu avant 1945, un autre gouvernement avait décidé de fluorer l'eau de ses camps : le gouvernement nazi.

En effet, les nazis n'hésitèrent pas à utiliser le fluor, dans leur quête du bon aryen, tout d'abord pour stériliser les populations. Mais surtout, ils se rendirent compte, grâce aux études de la tristement célèbre I.G. Farben, que les sujets soumis sur une longue durée à une grande quantité de fluor étaient plus soumis à la domination, par une intoxication du cerveau.




Ainsi, sous couvert de protéger nos enfants, les élites Rockefeller et Cie (les Rockefeller sont des partenaires historiques de l'I.G. Farben, et des compagnies qui lui ont succédé) entendent nous transformer petit à petit en masses dociles, prêtes à accomplir leur moindre volonté. Réveillons-nous, et à la dent bien blanche, préférons un esprit bien clair ! Sortons du dogme hygiéniste à outrance, une petite odeur, un ratelier de chicots, est-ce vraiment important devant la pureté de l'intellect ? Car bien entendu, ce qui compte le plus, c'est la Beauté Intérieure.

Source : http://onnouscachetout.blogspot.com/2009/06/pour-vous-vendre-leur-soupe-les-elites.html, par Alain A.